Le calme pesait sur l’abbaye en tant qu' un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait revêtir des murmures indistincts, comme si la pierre elle-même conservait la rappel des âmes disparues. Le moine restait prostré appelées à le manuscrit, sa souffle saccadée, les mains crispées sur https://myleszhnqu.vidublog.com/32859654/l-encre-du-destin