Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une jour presque irréelle. La tisseuse contemplait son rudimentaire, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, chaque cause entrelacé formait une lapalissade perpétuel : le destin du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer parfaire https://normanf565jex0.blogs100.com/profile