Le soleil s’écrasait sur les pierres brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient touchant à la carcasse rouillée d’une passée cabine téléphonique. Posée seule au borne d’une rue oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, n'importe quel dimanche à midi, une sonnerie https://spencermdpzj.kylieblog.com/34448846/les-présages-oubliées