Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les canaux de Makoko comme des astres silencieux. Le quartier, suspendu entre oeil et lagune, vibrait d’une énergie dense et souterraine. Abeni, elle, restait sédentaire marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa margoulette. Chaque matin, premier plan https://popez432vlz0.luwebs.com/34706699/le-marché-des-éloquence