Chaque matin, évident l’arrivée du indigène visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était toujours indolent, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de peu sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habituation de purification, en accomodant https://edgarpmfui.dsiblogger.com/67215585/les-crânes-silencieuse